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vendredi 13 décembre 2013

Zebraranol adore Alt-J !

Derrière ce patronyme bien étrange, se cache une petite pépite qui ravira la plus curieuse des esgourdes… Surtout celles de notre cher Zebraranol.

Zebraranol groupe Alt-J

Alt J : A crazy story à la sauce Zebraranol


Anecdote zebraranol(esque), le groupe prit la décision de bannir son tout premier nom de scène, à savoir Films, posant un problème majeur, puisque nos quatre membres étaient trop souvent confondus avec un groupe américain… The Films.
Le choix final, qui plus est original, fait référence au raccourci clavier unique, qui sur Mac, permet de dessiner la forme géométrique, d’ailleurs murmurée par le chanteur et guitariste du groupe Joe Newman, sur un ton presque sensuel à la 32ème seconde de «Tessellate ». Oui, Zebraranol a réussi à l'entendre ! :p

Alt-J ou (vous l’aurez compris) Δ est un jeune groupe venu tout droit d’Angleterre - plus particulièrement de la ville de Leeds - ville qui a su s’imposer sur la scène musicale britannique dans divers styles. Notamment, avec la formation de groupes de grande renommée comme les Kaiser Chiefs, Dead Disco… Alt-J présente ici un équilibre musical proche de la perfection, représentatif des convergences musicales d’outre-manche pour le plus grand plaisir de Zebraranol. :)

Une mélodie toute douce... comme Zebraranol


Pour leur premier album « An Awesome Wave » sorti le 5 juin 2012, Alt-J invite Zebraranol dans un voyage innovant, en toute simplicité avec une première piste quasi instrumentale. Mélodie dépouillée, accompagnée d’un jeu pianistique rapprochant celui du compositeur Dustin O’Halloran… l’ensemble suivi d’un son lourd, très pop et d’une rythmique assez lente rappelant le beat incontournable et envoûtant du dubstep. Clin d’œil aux influences musicales du groupe, « Interlude I» propose une polyphonie a capella saisissante. Un véritable gymel empreint de douceur et de volupté qui amorcera, sur la même tonalité, le morceau cité plus haut : « Tessellate », où l’on observe un retour en force du beat introductif, structurant en profondeur son thème. Une évasion garantie.

Il vous reste désormais 11 moments magiques à découvrir… Zebraranol ne le dira jamais assez. Voilà un album qui en vaut le détour !