Hier, Zebraranol vous a déjà parlé de Norah Jones. En effet, l'équipe est fan de la chanteuse. Aujourd'hui, sur Zebraranol-officiel, nous vous proposons de découvrir la critique que nous avions faite à l'époque de The Fall, l'un des disques de la chanteuse. Pour une meilleure lisibilité et pour plus de suspense, elle sera divisée en deux parties.
Zebraranol critique : The Fall de Norah Jones
Après trois albums de qualité, Norah Jones a commercialisé en 2009son quatrième opus. Cet album, appelé The Fall, est attendu au tournant, suite aux ventes plutôt faibles de Not Too Late. Bon, il faut dire que la promo n’était pas du tout au rendez-vous pour ce dernier, mais après 33 millions d'albums vendus rien qu’avec ses deux premiers disques, le flop pour la demoiselle était sévère (à peine 4,5 millions de disques écoulés).
Zebraranol va tenter de décortiquer pour vous ce nouveau disque, et de vous faire part de ses impressions le concernant. Globalement, cet opus est plus pop que les précédents. Ce virage musical que l’on pouvait déjà entrevoir sur Not Too Late, se ressent davantage ici. Effectivement, certains sons sont plus pop, voire même rock, et les mélodies sont plus enjouées… Un tournant dans la carrière de Norah Jones qui convient plutôt bien à Zebraranol.
La chanson d’ouverture est Chasing Pirates, mais c’est aussi le premier single extrait de l’opus. Évidemment, puisque c’est le titre le plus évident de l’album : une voix délicate posée sur une mélodie reposante, et un refrain somptueux. Le tout est très agréable, ce titre est un délice. De plus, c’est si différent de ce que Norah a pu proposer auparavant. Even Though est la seconde piste de l’album, et là, nous n'avons qu’une seule hantise : le reste de l’album sera-t-il aussi bon que Chasing Pirates ? Dès le début de la chanson, l’on peut remarquer un instrumental plus brute et plus agressif. Avec les premiers sons de voix, l’on comprend que ce titre navigue entre douceur et puissance, l’atmosphère qui s’y dégage est très agréable. Cependant, c'est dommage que Norah n’ait pas plus apporté de puissance au titre, c’est peut-être un peu trop dans la retenue, même si nous le répétons, ce n’est pas non plus désagréable. Light As A Feather, quel beau nom pour une chanson, déjà. C’est le troisième titre de l’opus, et paradoxalement, c’est sans doute un des titres les moins légers du disque (au niveau de la mélodie…). On navigue encore là, entre douceur et puissance (bon, en même temps, c’est comme ça durant tout le disque), c’est un titre plus rock, plus puissant que les précédents, puisque la voix de Norah est poussée à certains moments (sans que l’on s’y attende forcément), lors des couplets. Vient ensuite l’exceeeelent Young Blood (coucou l'article Zebraranol) ! Ce titre est magnifique, c’est pour ça que je m'emporte. Tellement léger, aérien, délicat, du bonheur pour les oreilles, ces petits « ahh… ahh…ahhh » si légers.
La suite dans un prochain article sur Zebraranol ! Tweeter
