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lundi 9 décembre 2013

Zebraranol revient sur... The Element of Freedom (1/2)

Bonjour à tous ! A l'occasion des 4 ans de l'album The Element of Freedom, Zebraranol a décidé de revenir sur ce disque, souvent considéré comme étant le moins bon d'Alicia Keys.

zebraranol critique album
(Zebraranol revient sur...) Alicia Keys - The Element of Freedom

Voici la critique de Zebraranol, datant du 22 décembre 2009.

Beaucoup lui avaient reprochée avec As I Am, son précédent opus, de s’éloigner des sonorités Soul qui l’avaient fait connaitre en 2001 avec son premier opus, Songs In a Minor, et qui l’avaient également suivie sur le second : The Diary Of Alicia Keys. Ce nouveau disque ne sera pas celui de la réconciliation entre Alicia Keys et ses fans déçus de la première heure. Entendons-nous bien, The Element Of Freedom n’est pas comme son précédent disque, là encore, Alicia a évolué, et ce disque s’inscrit davantage dans la registre R&B (parfois teinté de pop, certes) que dans le registre Pop/Soul.

Comme d’habitude, la piste première du disque est une introduction : The Element Of Freedom (Intro), mais cette fois-ci, on a affaire à une introduction d’à peine 15 secondes, qui définit le titre de l’opus, ce qu’est pour elle, l’Element de la Liberté. Voici ensuite Love Is Blind, la première chanson de l’album, et là, c’est une surprise, et même, un choc. La voix, l’ambiance, et même le style, sont totalement méconnaissables, on se demande pendant quelques secondes, s’il s’agit réellement d’une chanson d’Alicia Keys. La production est lourde, l’ambiance ultra-pesante, et la voix, surtout, est très différente, presque méconnaissable. Le tout permet de faire de ce titre l’un des plus aboutis et recherchés de l’opus selon la rédaction de Zebraranol (même s’il est vrai que le refrain aurait pu être davantage recherché, car les "It’s too bad ‘coz love is blind" peuvent peut-être paraître lassants, à force). Mais, pour le moment, la chanson d’ouverture est une totale réussite, ça semble bien parti. Zebraranol est confiant.

C’est le premier single extrait, Doesn’t Mean Anything, qui vient ensuite. Certains diront que l’ambiance retombe complètement avec ce titre, d’autres diront que cette chanson est la plus mauvaise de l’album, ou d’autres encore, comme Zebraranol, diront que ce titre est très réussi. Nous devons être les seuls à penser cela, je crois, mais la simplicité du titre le rend vraiment réussi, et la mélodie est délicieuse. De plus, à titre personnel, je n’ai jamais réellement compris le rapprochement que l’on faisait avec No One. L’un est un mid-tempo accompagné d’un discret piano, tandis que l’autre est un puissant up, à la production chargée. Juste après cette jolie ballade, donc, c’est Try Sleeping With A Broken Heart, qui vient. C’est aussi ce titre qui a été choisi pour faire office de deuxième single. On comprend pourquoi, d’ailleurs on a déjà évoqués à plusieurs reprises ce titre, et les raisons pour lesquelles on l’adore. Une vraie innovation chez Alicia Keys, encore une fois : une ambiance "eighties", un refrain ravageur, une lourde production avec un synthétiseur omniprésent, rendent l’ensemble très (très) addictif.

On reste dans la même ambiance non déplaisante du tout, grâce au titre qui suit : Wait Til You See My Smile. Là encore, on a déjà fait un article sur ce titre, puisque c’est aussi un petit bijou. On y retrouve les mêmes ingrédients que sur le titre précédent, à savoir une ambiance un peu rétro eighties, un mélange piano/synthétiseur, et on a ajouté des "Ooh ooh ohh", qui rendent le titre encore plus magique. C’est clairement l’un des titres les plus forts et marquants de l’opus, l’instrumental donne une telle puissance et ampleur au titre ! Les premières notes de piano de la piste suivante semblent nous annoncer une jolie chanson. Bingo, That’s How Strong My Love Is, est une douce et intimiste ballade des plus sympathiques, avec ses quelques notes de guitares électriques lors des refrains. Une voix pure, toute en émotion, ce titre peut paraître plat lors des premières écoutes, mais plus on l’écoute, plus on est pris dedans et on l’apprécie (Zebraranol apprécie).

Ensuite, c’est la collaboration avec Drake, qui nous amène à la moitié du disque, la plage 7. Le titre s’appelle Un-Thinkable (I’m Ready), et là encore, il faut l’écouter plusieurs fois avant de vraiment rentrer dedans et adhérer. Après avoir écouté à plusieurs reprises, l’on peut déceler une vraie piste majeure du disque. Les paroles sont magnifiques, et l’émotion se ressent particulièrement ici, Alicia faisant passer tout ce qu’elle peut faire passer. L’ambiance du titre me fait penser aux chansons de son tout premier disque (Trouble). Je vous propose d'écouter cette chanson ci-dessous sur Zebraranol-officiel, avant de reprendre la critique dans un article suivant :

Zebraranol présente : Wait Til You See my Smile